Cleopatra Usaba Maquillaje Antibacterias El estilo que utilizaba Cleopatra para maquillarse sigue siendo imitado por un gran número de mujeres hoy en día, pero lo que muchos no saben es que también resulta de gran interés para los científicos. No por la perfección de su raya del ojo, ni por lo marcado de sus pómulos, sino porque las sustancias que utilizaba para maquillarse tenían fines médicos, además de estéticos, algo que resulta cuanto menos curioso, tratándose de una mujer que vivió hace más de dos mil años. El hallazgo se explicó hace ya seis años en un estudio de la revista Analytical Chemistry y abrió de nuevo el debate sobre el impresionante avance científico que tenían, a pesar de sus pocos medios, civilizaciones tan antiguas como la egipcia. En el antiguo Egipto el maquillaje era un producto de uso común, tanto para hombres como para mujeres. Siempre ponemos el ejemplo de Cleopatra, pero sin duda ella no era la única que le daba una gran importancia al maquillaje, por lo que no es de extrañar que un gran número de jeroglíficos de la época hablen sobre los compuestos utilizados para fabricar este bien tan preciado. Y precisamente analizando uno de estos manuscritos se encontraba un grupo de investigadores del Louvre y el Centro Nacional de Investigaciones Científicas de Francia, cuando un dato muy curioso llamó su atención, pues uno de los jeroglíficos hablaba sobre el uso de plomo con el fin de obtener un pigmento negro que resultaba muy útil para la producción de maquillaje, pero también para prevenir enfermedades oculares asociadas a infecciones bacterianas. Esto sorprendió a los científicos responsables del estudio, pues es sobradamente conocido el efecto perjudicial que tiene este metal sobre la salud, como se puede comprobar en casos como el de Ludwig van Beethoven, que murió a causa de una intoxicación por plomo, originada especialmente por el consumo de pescado contaminado. Después de realizar una simulación del uso de los compuestos solubles del plomo a dosis pequeñas, tal y como se explicaba en los documentos egipcios analizados, estos investigadores descubrieron que, efectivamente, una cantidad muy baja del metal era suficiente para producir un pigmento capaz de estimular al sistema inmunológico en su lucha contra las bacterias asociadas a las infecciones de los ojos.
Le maquillage antibactérien utilisé par Cléopâtre Le style utilisé par Cléopâtre pour se maquiller est encore imité par un grand nombre de femmes, mais ce que beaucoup ignorent, c'est qu'il présente également un grand intérêt pour les scientifiques. Pas pour la perfection de son eye-liner, ni pour le marquage de ses pommettes, mais parce que les substances qu'elle utilisait pour son maquillage avaient des propriétés médicinales, et aussi que c'était pour des raisons esthétiques, ce qui est toujours d'actualité, en particulier parce que il s'agit d'une femme qui vivait il y a plus de deux mille ans. La découverte a été décrite il y a six ans dans un article pour la revue "Analytical Chemistry" et a rouvert le débat sur les progrès scientifiques impressionnants qui, malgré des moyens limités, avaient des civilisations aussi anciennes que les Égyptiennes. Dans l’Égypte ancienne, le maquillage était un produit à usage commun pour les hommes et les femmes. Nous avons toujours donné l'exemple de Cléopâtre, mais elle n'était certainement pas la seule à accorder une grande importance au maquillage. Il n'est donc pas surprenant qu'un grand nombre de hiéroglyphes de l'époque parlent des composés utilisés pour fabriquer de tels biens précieux. Un groupe de chercheurs du Louvre et du Centre national de la recherche scientifique de France a analysé avec soin l'un de ces manuscrits, lorsqu'un fait très curieux a été porté à leur attention, car il est apparu qu'un des hiéroglyphes avait mentionné l'utilisation de plomb afin d'obtenir un pigment noir; il était non seulement très utile pour la fabrication de maquillage, mais aussi pour prévenir les maladies oculaires associées aux infections bactériennes. Cela a surpris les scientifiques responsables de l’étude, car il est bien connu que le plomb a des effets néfastes sur la santé, comme on peut le voir dans des cas tels que Ludwig van Beethoven, décédé suite à un empoisonnement au plomb, plus spécifiquement, causé par la consommation d’un poisson contaminés. Après avoir simulé l'utilisation de composés de plomb solubles à petites doses, comme l'expliquent les documents égyptiens analysés, ces chercheurs ont découvert qu'une quantité très faible de métal était suffisante pour produire un pigment capable de stimuler le système immunitaire dans sa lutte contre les bactéries associées aux infections oculaires.